Une fois les bêtes traquées dûment localisées, les piqueurs reviennent vers la clairière où la compagnie les attend. Ils font au maître d'équipage leur rapport.
Le veneur « choisit alors de chasser tel cerf plutôt que tel autre, et donne ses ordres en conséquence [...]. On se rend à l'enceinte désignée. Les chiens d'attaque y pénètrent, cherchent le cerf, le mettent debout, le lancent, le forçant à s'enfuir », Paul Vialar, La Chasse (Flammarion, 1973).
Si tout va bien, évidemment. Car il peut arriver que la bête, avertie par on ne sait quel pressentiment, lève le pied sans attendre.