La vieille allégorie de la veuve Poignet, autrement dit la
propre main du branleur solitaire, fit florès au XIXe
siècle. Cette veuve secourable est bien difficile à
interpréter : l'idée du veuf privé de sa femme qui serait
un masturbateur habituel n'est pas très convaincante.
Serait-il possible qu'il y ait eu à cette même époque un
jeu de mots avec la veuve, la guillotine, parce qu'elle
décalotte le vit ?...
On peut penser aussi à la convoitise
traditionnelle des jeunes veuves pour les adolescents ou
les célibataires : Mme Machin est absente, on a recours à
la veuve Poignet...
En tout cas, cette personne, appelée aussi Mme Poignet
est une bien bonne âme, une maîtresse idéale avec
laquelle on ne se dispute jamais !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire