Coiffure d'infâme
C'est que la tête du soldat s'est ornée tour à tour du shako (hongrois), du képi (allemand), du calot (d'ecclésiastique) et enfin du béret (basque).
Le calot portait aussi le nom de bonnet de police.
À l'origine, seuls les militaires purgeant une peine de salle de police étaient tenus de porter ce bonnet pour signaler leur état de puni.