Comme un couac à l'Opéra
Les musiciens de l'Opéra de Paris disposaient d'une cagnotte alimentée par les amendes infligées aux musiciens pour une mauvaise attaque ou une fausse note qui obligeait tout l'orchestre à prolonger indûment les répétitions.
On sait les musiciens d'orchestre très à cheval sur les horaires de travail. Les sommes recueillies permettaient l'achat d'une grosse brioche qu'ils partageaient pendant la pause.