Pour mieux la faire avaler
Il fallait du courage, autrefois, pour se soigner ! Saignées, clystères, ventouses scarifiées, cataplasmes ou cautères étaient douloureux. Les médicaments avaient un goût affreux que toutefois les apothicaires s'efforçaient de masquer. Ils les enrobaient de sucre pour leur donner une apparence flatteuse, afin que les patients acceptent d'avaler la pilule (du latin pilula, petite boule).