Fils prodigue

Enfant perdu (parti au loin, dévoyé, ou cru mort), revenu et fêté
La parabole est la même que celle de la brebis égarée ou du sou perdu : il y a plus de joie pour un seul pécheur qui se convertit que pour les quatre-vingt-dix-neuf justes qui n'ont pas besoin de conversion.
À noter qu'au retour de l'enfant prodigue, on tue le veau gras, pour le fêter avec faste, lui manifester un accueil des plus chaleureux.
NT - Évangile selon saint Luc, livre 15, versets 11 à 32



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