On n'a rien sans rien
La locution qui existait déjà en 1640 est devenue proverbiale grâce à Racine et à ses Plaideurs.
Le Suisse n'est pas là le portier d'église, mais le mercenaire. Il fallait que le capitaine, propriétaire de son régiment qu'il louait au roi comme c'était l'usage à l'époque, ouvre grand sa cassette pour enrôler ces redoutables mercenaires.