D'office

Pour remplir son office 
D'origine juridique, ce terme remonte au temps des baillis, des prévôts et des échevins. On disait alors de son office, c'est-à-dire en vertu des obligations de son office, de sa charge de magistrat, d'huissier ou de notaire. Au XIXe siècle, la locution prendra son sens actuel, par voie d'autorité, comme dans le cas de l'avocat commis d'office.