Sur le bûcher
Les coupables de crimes étaient souvent accusés de sorcellerie. L'exécution sur le bûcher, prétendait-on, sauvait la victime des flammes infernales. Détail horrible, le supplicié était enduit de graisse de porc pour qu'il brûle mieux et qu'il ne meure pas à petit feu (cette dernière expression vient bien du supplice du bûcher).
Heureusement, le condamné était généralement déjà mort, discrètement étranglé par le bourreau qui faisait mine de l'amener vivant au supplice : le public, lui, n'y voyait que du feu.
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