La partouze est aujourd'hui une activité sexuelle
collective, sans égard au nombre des participants — à
partir de trois, cela s'entend.
Le mot s'emploie du reste assez librement par tout
débordement sexuel, de préférence avec témoins, ces
récréations étant en principe l'apanage des classes aisées
de la société.
Jacques Cellard fait apparaître cette acception dès 1925 :
« Figure-toi que les gens de la haute ont inventé un vice
nouveau. Tous ces blasés ne prennent plus grand
plaisir à faire ce que vous pensez ; le ragoût, pour eux,
c'est de se le regarder faire entre eux. On appelle ça "La
Partouze" ! » (Galtier-Boissière, La Bonne vie, 1925, Cellard).
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