La parabole du Bon Samaritain introduit une nuance à
l'amour évangélique du prochain : « Qui est mon prochain ? » demande un légiste à Jésus.
Celui-ci évoque alors le voyageur dépouillé par des brigands, et laissé blessé sur la route. Un prêtre puis un lévite s'en écartent, tandis qu'un Samaritain le secourt, l'emmène dans une auberge et paie son hébergement. « Lequel des trois à ton avis, s'est montré le prochain de l'homme qui était tombé sur les bandits ? Le légiste répondit : C'est celui qui a fait preuve de bonté envers lui. Jésus lui dit : Va et toi aussi, fais de même. »
Le prochain n'est donc pas celui que l'on respecte parce qu'il respecte la loi, mais l'étranger que l'on n'a pas choisi, qui est arrivé par hasard, mais qui nous a sauvé la vie.
Celui-ci évoque alors le voyageur dépouillé par des brigands, et laissé blessé sur la route. Un prêtre puis un lévite s'en écartent, tandis qu'un Samaritain le secourt, l'emmène dans une auberge et paie son hébergement. « Lequel des trois à ton avis, s'est montré le prochain de l'homme qui était tombé sur les bandits ? Le légiste répondit : C'est celui qui a fait preuve de bonté envers lui. Jésus lui dit : Va et toi aussi, fais de même. »
Le prochain n'est donc pas celui que l'on respecte parce qu'il respecte la loi, mais l'étranger que l'on n'a pas choisi, qui est arrivé par hasard, mais qui nous a sauvé la vie.
La parabole est une pierre dans le jardin de ceux qui
font passer le devoir avant la charité.
Il serait cependant regrettable d'en faire une restriction à l'amour évangélique, puisque le pardon des offenses invite à aimer le prêtre et le lévite aussi bien que le Samaritain.
Il serait cependant regrettable d'en faire une restriction à l'amour évangélique, puisque le pardon des offenses invite à aimer le prêtre et le lévite aussi bien que le Samaritain.
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