Mi-figue, mi-raisin

Comme en période de carême 
Mi-figue, mi-raisin ne satisfait ni les amateurs de raisins secs ni les amateurs de figues. 
C'est le sens de la formule depuis le XVe siècle : ni bien ni mal. 
Les raisins de Corinthe et les figues, comme tous les fruits secs, étaient des desserts de carême. En mars, il n'y avait pas de fruits frais.