Un tour de pendard
Le véritable coup du père François réclamait deux acolytes. Un costaud pour étrangler sa victime par-derrière à l'aide d'une courroie en le soulevant du sol, un complice pour le délester de sa montre ou de son porte-feuille.
Le nom de coup du père François pourrait venir du célèbre lutteur de foire, François Arpin, dit le terrible Savoyard, dont la prise affectionnée était un étranglement par derrière.
Actuellement, le coup du père François ne désigne plus qu'un choc à la nuque.