En chemise et corde au cou
Soumis à la question ordinaire de l'eau lui tordant les entrailles ou à la question extraordinaire des brodequins lui broyant les genoux, l'inculpé, même innocent, finissait par avouer le crime dont il était accusé.
Mais la justice féodale ne se contentait pas de ses aveux. Il fallait qu'il les renouvelle en public le jour de son châtiment.
Le condamné en chemise blanche, la corde au cou et un cierge à la main, devait demander pardon de ses crimes. Il faisait amende honorable devant Dieu et les hommes, et l'honneur lui était ainsi rendu. Il s'était amendé et pourrait ainsi échapper aux flammes éternelles.
Soumis à la question ordinaire de l'eau lui tordant les entrailles ou à la question extraordinaire des brodequins lui broyant les genoux, l'inculpé, même innocent, finissait par avouer le crime dont il était accusé.
Mais la justice féodale ne se contentait pas de ses aveux. Il fallait qu'il les renouvelle en public le jour de son châtiment.
Le condamné en chemise blanche, la corde au cou et un cierge à la main, devait demander pardon de ses crimes. Il faisait amende honorable devant Dieu et les hommes, et l'honneur lui était ainsi rendu. Il s'était amendé et pourrait ainsi échapper aux flammes éternelles.
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