L'expression « il fait un temps de chien » qui se dit par très mauvais temps se comprend mieux par sa variante : « il fait un temps à ne pas mettre un chien dehors » (attestée dès le XVIIIe siècle).
Et pourtant, les chiens de ferme n'étaient pas autorisés à franchir le seuil de la maison ; il fallait que le temps soit vraiment épouvantable pour qu'on prenne pitié du chien et qu'on le laisse entrer se mettre à l'abri.